N2 J11 – LORIENT/ACFC

Nov 27, 2022 | National 2

L’ACFC N’A PAS RÉUSSI À FORCER LE VERROU DE LORIENT

L’ACFC a ramené le match nul vendredi soir chez la réserve de Lorient (0-0). Après avoir eu l’occasion de prendre l’avantage. Mais les Bretons auraient aussi pu s’imposer.

Défaits lors de leur dernière sortie face au stade Bordelais, c’est un bon point que les Angoumoisins ont obtenu au stade du Moustoir face à une belle équipe lorientaise qui aura fait étalage de toute sa technicité.

Ce sont d’ailleurs les Merlus qui prirent les reines de la rencontre se montrant dangereux sur les corners de Lebas notamment qui mettaient aux abois une défense angoumoisine qui s’en sortait sans dommage, la faute de Touré sur Nilor (14) laissant de marbre l’arbitre de la rencontre.

Fichten rate un penalty

L’orage passé, les hommes de David Giguel s’enhardissaient peu à peu dans le camp lorientais, par Lobo notamment côté gauche qui se faisait faucher dans la surface par MBelek (25).

Penalty justifié : Fichten se chargeait de la sentence mais trouvait sur sa route Ehlinger qui repoussait la frappe de l’attaquant charentais (26).

Première parade décisive du gardien lorientais puisque cinq minutes plus tard Ehlinger était encore à l’œuvre sur la frappe de Lobo (31) qu’il renvoyait hors de son cadre.

Lorient pousse

Les Lorientais avaient frôlé la correctionnelle mais auraient pu aussi bénéficier d’un penalty pour une faute de Bentayou sur Nilor dans les arrêts de jeu, mais l’action se soldait par un avertissement pour l’attaquant lorientais !

La deuxième période reprenait sur le même schéma, à savoir une domination lorientaise qui se concrétisait par deux barres transversales, la première sur le centre de Colas repris d’une tête piquée par Nilor (61), la seconde dans la minute suivante sur la frappe des 25 mètres de Doumbouya.

Angoulême avait plié mais pas rompu, faisant preuve d’une belle solidarité défensive. Car si le ballon était le plus souvent en possession des Merlus, c’était néanmoins sans danger pour des Angoumoisins qui pariaient sur une éventuelle situation de contre pour faire basculer le match en leur faveur. En vain !

Marie-Paule BIHAN (Charente Libre)